Suivant cette démarche, j’ai eu la chance d’expérimenter la puissance d’une gestion plus collaborative, ce qui a grandement contribué à la création d’un climat de confiance et favorisé la synergie de l’équipe. J’ai d’ailleurs eu beaucoup de plaisir durant cette période à expérimenter le tout.

Malgré le fait que nous étions une famille unie et passionnée de l’automobile, la dynamique familiale était plutôt conflictuelle et non productive au sein de l’entreprise. Mon père caressait le rêve que chacun de ses enfants ait sa propre concession, et trouvait difficile de devoir prendre position dans certaines situations des plus délicates. Le climat était lourd et chargé en émotions. Deux années avant la vente, mon frère a quitté l’entreprise et s’est consacré à d’autres projets entrepreneuriaux. Ce passage de notre histoire a d’ailleurs laissé quelques cicatrices au sein des relations familiales. À l’âge de 29 ans, j’ai donc vécu ma première transaction d’envergure et tout ce qui vient avec sur le plan humain, familial, légal et financier. Cette expérience de vie a été déstabilisante par moment, mais elle me permet aujourd’hui de pouvoir accompagner des familles en situation de transfert d’entreprise avec neutralité et compassion.

Suivant la vente de l’entreprise familiale en 2001, j’avais un besoin de performance, de vouloir paraître forte et invulnérable, et c’est pourquoi j’ai réussi avec brio à démontrer que tout était parfait, et que je vivais la vente de l’entreprise comme une réussite. Cependant, au fond de moi, la vérité est que je le vivais comme un échec important, et j’avais honte. Il n’y a rien de plus puissant que la honte pour faire le choix de se refermer et de se protéger davantage…

Tellement de fois, je me suis fait dire : on n’est pas inquiet pour toi, tu es belle, tu es intelligente, tu vas réussir ! Je me mettais beaucoup de pression pour entreprendre autre chose, afin de prouver aux gens que j’avais une valeur et que je méritais leur reconnaissance. Je désirais correspondre aux attentes que je croyais qu’ils avaient envers moi. C’est très lourd, vous ne trouvez pas?

J’ai donc par la suite choisi de m’investir dans un projet qui avait peu de risque d’échouer : j’ai fondé Synaxon, en 2002, afin d’utiliser l’expérience des dernières années à titre de dirigeante, et activer mon plan B qui était d’accompagner les entrepreneurs et les dirigeants dans la gestion de leur entreprise sur le plan humain. Merci beaucoup à André-Guy Sicard, de AGS gestion-conseil, de m’avoir accompagné et d’avoir collaboré avec moi lors de mes premières années à titre de consultante de gestion. Merci de m’avoir partagé tes connaissances sur la neuroscience et la neurobiologie, des sujets qui te passionnent. Tes enseignements me sont encore utiles aujourd’hui.

Loin de moi l’idée de diminuer la beauté ou de juger la création d’une entreprise individuelle, mais dans mon cas, je l’ai fait par peur de me tromper, en sachant que j’aurais pu explorer d’autres possibilités qui m’inspiraient vraiment comme entrepreneure. Je suis donc partie de la gestion d’une entreprise de plusieurs millions de dollars, à la gestion d’une entreprise d’une centaine de milliers de dollars comprenant uniquement une voiture, un ordinateur et un cellulaire à payer. Les risques étaient donc minimes.

Rapidement, j’ai eu beaucoup de clients, et bien sûr beaucoup d’activités connexes. Mon horaire était bien rempli, à un point tel où j’ai commencé à me sentir prisonnière de mon style de vie. En effet, les années passaient, et malgré le succès de mon entreprise, j’avais de moins en moins de plaisir à faire mon travail, et les heures hebdomadaires que j’investissaient ne cessaient d’augmenter. Je savais que je me dirigeais vers l’épuisement, puisque malgré mon degré d’énergie débordant, je ressentais tout de même que mon réservoir de vitalité s’épuisait tranquillement. J’expérimentais alors un succès professionnel au détriment de plusieurs sphères de ma vie.

Ce qui était très valorisant et sécurisant pour moi à l’époque, c’était le fait d’être constamment occupée dans ma vie professionnelle et personnelle. Je m’accordais du repos sans culpabilité uniquement lorsque j’étais épuisée. Je croyais alors que c’était la seule façon de vivre ma vie. Derrière tout cela, l’une de mes principales attentes était d’être reconnue et aimée, mais à ce moment, je n’en étais pas consciente…

À l’époque, je croyais fermement que je devais performer au travail et à travers mes différents projets au sein de mon entreprise, tout autant que dans mon rôle de femme et d’amoureuse avec mon conjoint, de mère avec mon fils, ainsi qu’avec mes amis, tout en étant toujours en super forme, continuant de performer dans la pratique de mes sports favoris… Non seulement je me mettais la pression de tout savoir et d’exceller dans tous ces domaines, mais en plus je me définissais des objectifs souvent irréalistes.

C’était plutôt lourd à porter, mais avec le temps, je m’y étais habituée. Je me suis même rendue à un point où je me suis un peu perdue de vue, puisqu’en cherchant à correspondre aux attentes des autres et de la société, j’en avais presque oublié l’unicité de la personne que je suis. Mais, comme je vivais un certain succès professionnel, je me sentais prisonnière de cette réalité, et je réalisais peu à peu que pour ce faire, je devais immanquablement sacrifier quelque chose. À cette époque, c’est ma vie personnelle et familiale qui a été impactée. Puis, au bout d’un moment, ce fût ma vitalité… À cet instant, j’ai commencé à me questionner, sans toutefois trouver de réponse immédiatement.

Le fait de prendre conscience de l’inconfort que je vivais à travers ces sacrifices, et le sentiment de passer à côté de quelque chose de plus grand que moi, a créé une ouverture suffisante pour me permettre d’accueillir différentes ressources pour m’assister. Elles se sont présentées à moi sans que je ne recherche rien de particulier. C’est assurément mon ouverture, si petite fût-elle, qui m’a permis de les voir, tout simplement.

C’est donc à ce moment qu’une amie m’a proposé de rencontrer deux de ses mentors, Sylvie Olivier et Bernard Thérien, de Golden Heart Wisdom. Un merci spécial à mon amie Marie-Josée Aubé (1968-2021), pour cette rencontre marquante et déterminante qui a tout simplement changé ma vie.

D’entrée de jeu, ces derniers m’ont invité à reconnecter au cœur de qui je suis. Au début, cela m’a fait vraiment peur, puisque je ressentais un grand vide et n’avais aucun point de repère. En quelque sorte, ils me proposaient de cesser de porter les différents masques que j’utilisais qui, jusque-là, m’avaient drôlement servi à me protéger du fameux sentiment de ne pas être à la hauteur. À ce moment, ma façon de réagir était de porter rapidement des jugements, et d’être très critique envers moi-même et les autres. J’utilisais beaucoup le masque de la colère et de l’humour pour me faire entendre et prendre ma place. Je remercie donc grandement Sylvie et Bernard pour leur patience et leur solidité, en dépit de mes questionnements et de mon attitude parfois arrogante! C’était ma façon d’exprimer ma résistance à cesser de retenir les masques que j’utilisais pour être «performante». Sylvie et Bernard sont d’ailleurs encore présents dans ma vie aujourd’hui à titre de mentors et amis.

À travers leur assistance, j’ai pris conscience que les ressources que je cherchais ne se trouvaient pas à l’extérieur de moi, mais bien à l’intérieur… C’était contraire aux formations et aux approches que j’avais connues par le passé. C’était si simple, mais plus compliqué à la fois, puisque je devais inévitablement accueillir les inconforts que j’avais si longtemps cherché à camoufler.

À travers cette expérience de vie, j’ai pris conscience que la pression de performance était bien présente et ce, dans toutes les sphères de ma vie…

Le parcours que j’ai entrepris de faire m’a non seulement assistée me connecter à ma zone d’excellence professionnelle, mais aussi à reconnecter à mon unicité en tant que femme. Dans cette zone, aucune comparaison n’est possible et toutes les réponses sont disponibles, lorsqu’on s’y rend accessible. Depuis, je poursuis mon cheminement d’approfondissement et d’alignement entre la tête et le cœur. C’est d’ailleurs un engagement quotidien que j’ai pris avec moi-même depuis quelques années.

À l’âge de 39 ans, j’ai eu le grand bonheur d’être maman. C’est un privilège que la vie m’a offert. À ce moment, je ne pouvais pas profiter pleinement de ma grossesse avec toutes les conditions que je m’imposais; je ne voulais pas prendre trop de poids, et je ne voulais pas non plus démontrer ma fatigue, même si parfois je m’allongeais dans ma voiture entre deux rencontres avec des clients. En fait, je ne voulais démontrer aucun signe de faiblesse, ce qui aurait pu nuire à ma performance. J’ai donc travaillé jusqu’à la dernière minute de ma grossesse, sans planifier de congé de maternité. J’ai d’ailleurs fait quelques communications téléphoniques entre deux contractions! Malgré tout, je me suis tout de même permise d’apprécier l’expérience de l’accouchement, et le sentiment d’avoir mon fils sur moi, corps à corps, quelques minutes après sa naissance. C’était un instant extraordinaire et grandiose! J’étais sans mot et j’ai ressenti un amour profond et inconditionnel pour mon beau Mattéo, dès le premier regard.

Suite à mon accouchement, j’ai ralenti le rythme pendant quelques semaines à peine, sans totalement arrêter. Rapidement, j’ai recommencé à travailler presque au même rythme qu’auparavant. La performance s’est alors traduite par la performance dans l’allaitement, les repas équilibrés, et les apprentissages de mon enfant, tout en conjuguant mon retour au travail, et ma remise en forme, bien sûr! Les activités professionnelles ont finalement recommencées à occuper beaucoup d’espace dans mon horaire, jusqu’au point où j’avais du mal à apprécier les moments avec mon fils. Le rythme était tellement différent lorsque j’étais avec lui, de ce que je vivais au travail, que j’avais l’impression de perdre mon temps et je me sentais impatiente, ce qui m’empêchait d’être en mesure de m’amuser avec lui et d’entrer dans son monde d’enfant. Au fond de moi, la culpabilité me rongeait à l’intérieur… Je voulais être parfaite, partout, et je n’y arrivais tout simplement pas!

Que de lourdeur et de découragement. Ne sommes-nous pas censés «travailler» pour être en mesure d’avoir du temps de qualité en famille et avec les amis? Ce n’était pas du tout de cette façon que je le vivais… J’ai alors pris conscience que cela n’avait pas de sens.

Aujourd’hui mon fils, dans toute sa pureté d’enfant, m’offre tellement d’opportunités de redéfinir ce que sont la performance et la réussite, et j’ai appris à apprécier chaque moment avec lui, qui est débordant d’énergie, tout comme je l’étais à son âge… Quel bonheur et quel privilège extraordinaire! Je ne croyais pas être capable d’aimer faire des «Legos» avec lui. Donc, en accueillant une avenue différente pour les éléments qui me dérangeaient, que ce soit dans mon rôle professionnel ou personnel, j’ai pris conscience que cela avait un impact partout, puisque toutes les sphères de vie sont reliées entre elles.

J’ai longtemps pratiqué le sport avec un désir de m’améliorer sans cesse et de repousser les limites, soit en ski alpin, en ski nautique, en fitness-musculation ou avec des programmes d’entraînements physiques à charge maximale, ainsi que plusieurs autres sports. C’est magnifique, lorsque l’intention derrière est saine… mais ce n’était pas mon cas. Au contraire, ce besoin de performance venait d’un profond désir de me faire aimer, de me démarquer, de bien paraître et de me sentir supérieure. Lorsque je ne réussissais pas assez à mon goût, j’éprouvais de la colère, de la frustration et de la déception. J’avais beaucoup d’attentes et d’exigences envers moi-même, et ces attentes se manifestaient aussi envers les autres. Même lors d’une partie de tennis amicale, c’était comme si je me battais pour ma vie, à chaque fois! C’est cette portion et ce besoin qui est toxique pour le bien-être physique, émotionnel et psychologique, au final.

En performant autrement, j’ai redécouvert le plaisir à l’état pur des sports que je pratique pour le plaisir avant tout. Est-ce que j’ai toujours le désir de m’améliorer et de performer? Bien sûr! Mais l’intention est cependant totalement différente, et fait intéressant : je «performe» avec beaucoup plus de fluidité!

Mon coach de ski nautique m’a partagé une phrase des plus puissantes un matin d’été, il m’a dit : «Laisse les résultats venir à toi, plutôt que de courir après…» C’est tellement vrai et applicable dans toutes les sphères de la vie! C’est la performance, l’excellence dans toute sa pureté. Plus on cesse de retenir les objectifs à tout prix, la quête du bonheur ou de la réussite, plus on expérimente la vie plutôt que la survie. Merci Mario Gohier, un coach d’exception, ton « coaching » va bien au-delà du ski nautique. Merci d’être qui tu es et de m’accompagner à être qui je suis comme skieuse, mais également comme personne.

Cela change complètement l’expérience de toutes les activités que je réalise, que ce soit dans les sports, dans mes projets entrepreneuriaux, avec ma famille et dans les autres sphères de ma vie. Le degré de légèreté est incomparable, et c’est dans cet état d’être que je reçois des inspirations et de la clarté sur les prochaines actions à poser. Cela redéfinit, pour moi, totalement la notion d’efficacité. Je fais le choix de cette façon de PERFORMER AUTREMENT, chaque jour.

Dans l’approche de Performer Autrement, j’ai choisi d’intégrer l’intelligence du cœur. Je crois que rendu ici dans votre lecture de mon parcours, vous comprenez pourquoi! Mais ce que peu de gens savent, c’est que cette forme d’intelligence a des assises scientifiques, telles que les recherches du HeartMath Institute le démontrent depuis 1991.

En effet, cette organisation sans but lucratif a aidé plusieurs grandes organisations internationales à améliorer le bien-être des gens qui y travaillent, ainsi que la profitabilité des entreprises. De plus, HeartMath Institute se consacre depuis 1991 à des recherches scientifiques sur l’étude de la physiologie de l’apprentissage, la gestion du stress, sur la résilience et sur la performance. Ils ont développé différentes techniques et une technologie très puissante qui permet d’être dans un état physique, mental et émotionnel optimal, même dans un contexte de changements rapides! Cette forme d’intelligence permet d’harmoniser et d’aligner le cœur (intuition), la tête (les connaissances) et les émotions.

J’ai complété ma formation du Programme de formateurs certifiés HeartMath® — The Resilience Advantage™ . J’applique les techniques au quotidien et je les partage au sein des entreprises. Cela a changé ma vie, et je me sens privilégiée de pouvoir les transmettre dans le monde des affaires. La résilience, l’adaptabilité, l’humilité, la bienveillance et la gestion du stress sont les compétences de l’avenir.

C’est finalement à l’âge de 44 ans, accompagnée par mes mentors, que j’ai choisi de dire oui à accueillir un style de vie qui serait davantage en harmonie avec qui je suis. Cette ouverture m’a permis de me libérer des lourdeurs qui occupaient beaucoup d’espace en moi, depuis tant d’années… Je constate aujourd’hui à quel point les années passent vite, et que si l’on fait le choix de ne jamais s’arrêter, dans le but conscient ou non de ne pas ressentir ce qui se passe à l’intérieur, cela peut être un frein important dans toutes les sphères de la vie.

Cette pause que j’ai choisie d’accueillir afin d’observer et me libérer de mes patterns m’a permis de revisiter mon entreprise et ma vie, et donc ma façon de faire, c’est pourquoi je me suis également ouverte à me lancer réellement dans l’aventure entrepreneuriale avec la création d’une nouvelle plateforme et un tout nouveau modèle d’affaires, pour lesquels il n’existe actuellement que peu de points de repères. C’est à ce moment qu’à Synaxon s’est ajouté le mot expansion, pour finalement devenir Synaxon Expansion.

J’ai fait le choix d’être pionnière dans l’expérimentation de Performer Autrement au quotidien tant pour ma vie professionnelle que personnelle. À mon grand bonheur, plus j’expérimente cette nouvelle plateforme, plus tout devient de plus en plus simple, léger et surtout, efficace! Je continue de faire ce que j’aime le plus, soit accompagner les entrepreneurs, dirigeants, équipes et familles en affaires, tout en créant du nouveau contenu et des outils inspirés par mon expérience… De plus, la prospérité se manifeste concrètement par l’expansion des projets, la qualité de la connexion et l’harmonie dans la relation avec moi-même et les autres, l’argent, la santé et le sentiment de liberté et de plénitude de façon de plus en plus prolongé au quotidien. C’est mon état d’être qui amène de la performance et non l’inverse.

Le nom Synaxon prend son origine des mots « synapse » et « axone », deux composantes du cerveau responsables du développement humain et du processus d’évolution des comportements. On peut ressentir que pour moi, avant, tout devait s’expliquer par un fondement des plus rationnel. Tout se passait dans la tête! Pendant longtemps, j’ai cru que c’était la meilleure façon d’accompagner les dirigeants, et j’étais continuellement en quête de nouveautés dans mon secteur d’activités, afin de les transmettre à mes clients, toujours animée par la performance et l’exigence de leur offrir le meilleur. Cette quête s’annonçait d’ailleurs sans fin, et venait avec le sentiment de ne jamais être assez!

Aujourd’hui, je sais que je partageais un très bon contenu avec une intention bienveillante d’accompagnement, mais je sais aussi que je ne partageais pas ma facette unique au monde des affaires… Je ne suis pas en train de juger mon passé, je tiens plutôt à l’honorer, puisque cela m’a permis d’expérimenter les limites du paradigme actuel du monde des affaires en me laissant guider uniquement, ou presque, par l’intelligence dite rationnelle.

Cependant, au fil de l’expérience que j’étais en train de vivre, je réalisais que dans cette façon de faire, il y avait peu de place pour ressentir, peu de place pour l’intuition et la vulnérabilité quand pourtant, je prenais conscience que ces composantes étaient essentielles pour connecter avec tout être humain et son potentiel… Ici, je fais référence à la vulnérabilité qui est un mélange d’authenticité, de courage et de compassion pour soi et pour les autres. La vulnérabilité est le courage d’être soi en toute authenticité, peu importe la situation.

Par exemple, prenons le paradigme du nouveau modèle d’affaires que j’expérimentais. Au début, je me suis sentie déstabilisée, et j’avais l’impression d’être une marionnette qui se dirigeait dans tous les sens. Comme j’avais longtemps valorisé l’arrogance en affaires et l’importance de démontrer clairement où je m’en allais afin d’être le plus fort pour pouvoir passer par-dessus les autres, le fait d’être authentique et bienveillant venait complètement brouiller tous mes anciens repères. Moi qui croyais que l’arrogance était un signe de force et de leadership, je découvrais la puissance exponentielle d’un leadership qui, au contraire, prenait sa source dans l’intelligence du cœur…

Faire ce choix m’a permis de ressentir la plénitude, la légèreté et le plaisir et ce, sans sacrifier l’une des sphères de ma vie. Ce fut toute une libération, que je souhaite aujourd’hui partager au plus grand nombre de personnes qui sont ouvertes à considérer d’autres avenues pour expérimenter la vie autrement! Vous comprendrez donc la genèse de mon approche Performer Autrement!

C’est aussi à l’âge de 44 ans que j’ai fait le grand saut en accueillant le nouveau paradigme du monde des affaires pour moi-même d’abord, et par la suite choisi d’investir toutes mes économies et mes actifs dans Synaxon Expansion. Plusieurs désirent davantage protéger leur acquis, mais dans mon cas, j’ai fait le choix d’expérimenter toutes les facettes d’un démarrage d’entreprise et de l’aventure entrepreneuriale complète. Il était grand temps que je me «déniaise», comme on dit!